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Atelier d'écriture 
en présentiel

machine à écrire

Écrire dans le quartier d'Auteuil...

Situé au 11 bis rue d’Auteuil (Lycée Jean-Baptiste Say) dans le 16ème arrondissement de Paris, l’atelier se déroule de 9h30 à 12h, un samedi par mois d’octobre à juin (en dehors des périodes de congés scolaires) soit 9 séances.

Tarif des ateliers :

- 30€ la séance unique.

- 240€ le cycle complet (une séance offerte), soit 9 séances au total.

- 90€/mois pour un abonnement de 3 mois.

Réservez en ligne

Consultez nos disponibilités et réservez la date et l'heure qui vous conviennent.

Fonctionnement de l'atelier

L’atelier d'écriture fonctionne sur la base de propositions  d’écritures. 

Sans peur de la page blanche, l’écriture libératrice, inventive & créative développe votre imaginaire. À la différence des consignes que nous avons connu dans nos passés d’écoliers, la proposition se veut  ouverte ce qui permet de  la contourner. La proposition est un accélérateur, un déclencheur de l’écriture. 

Propositions d’écriture - Phase 1

L’atelier d’écriture fonctionne sur la base de propositions  d’écritures.  Sans peur de la page blanche, l’écriture libératrice, inventive, créative développe votre imaginaire.  À la différence des consignes que nous avons connu dans nos passés d’écoliers, la proposition se veut  ouverte ce qui permet de la contourner. La proposition est un accélérateur, un déclencheur de l’écriture.  

 

L’atelier d’écriture consiste à écrire à partir de propositions thématiques que je construis en prenant appui sur un extrait de texte  littéraire, une image, une œuvre d’art que j’introduis par une brève présentation de l’auteur. La proposition peut aussi faire référence à un objet ou une expérience, par exemple à partir de voix entendues dans un lieu public. La proposition est un déclencheur du processus d’écriture. Plus de panique de la page blanche. Si la proposition ne vous engage pas, il est toujours possible de la contourner et de n’en faire qu’à sa tête.

Le temps de l’écriture –Phase 2

Je fixe un temps d’écriture variable en fonction de la proposition, du groupe, du rythme des participants. L’animateur est gardien du temps.

 

Le temps d’écriture en séance produit des « premiers jets », des fragments de récit. Le travail de réécriture se fait dans un second temps, à la lumière de mes retours et des participants.


Lecture des récits – Phase 3

Chaque participant est invité à partager son texte avec le groupe de participants. Le texte peut être lu par son auteur ou par un autre membre du groupe.


Les retours – Phase 4

Avec bienveillance, je propose à chaque membre de réagir en se situant comme lecteur : comment est perçu le récit. Je m’attache au processus d‘écriture. Ainsi je peux être amenée à recentrer les points de vue des participants sur le processus d’écriture, sans porter de jugement sur le contenu du récit.

 

Dans le respect de la pente d’écriture de l’auteur, je fais des retours qui visent à renforcer son texte. In fine, il est seul  à décider de suivre ou pas les observations et conseils selon qu’ils lui « parlent » ou pas. Les retours sont des points d’appui. Le récit en séance n’étant qu’un premier jet qui souvent gagne à être retravaillé.

Les retours portent sur le processus d’écriture :

  • la structure narrative 

  • les qualités du style, du rythme, du vocabulaire

  • des mots clichés, des expressions confuses

  • les personnages sont-ils incarnés

  • les  passages forts,  ceux qui sont à  développer, 

  • les passages où le texte peut gagner en force par la réécriture (longueurs, passages à clarifier, à épurer, les répétitions, les passages digressifs inutiles qui alourdissent la narration …)

  • Le texte coïncide –t-il avec ce que l’auteur  a voulu faire passer comme émotion.

  • Quelle est l’adéquation de la forme et du fond. La forme sert –elle suffisamment l‘intention de l’auteur  

  • L’auteur donne –t-il suffisamment à voir au lecteur tout en laissant place à l’imaginaire du lecteur 

ÉCRIRE, C'EST VIVRE D'AUTRES VIES, AJOUTER DES VIES À LA BELLE VIE, QUI N'EST PLUS SI COURTE QUE ÇA...

J. M. G. Le Clézio

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